Extraits du NUMÉRO 3
(Juillet / Août / Septembre 2002)
 
L'énigme de la mort de Louis XVII
(Extrait de l'article paru dans le numéro 3)

En avril 2000, le résultat de l'analyse génétique du cœur du présumé Louis XVII mort en 1795 à la prison du Temple, établissait sans le moindre doute la parenté avec Marie-Antoinette. Pour autant, le voile sur le mystère de la mort du dauphin est-il levé ? Le cœur analysé, conservé depuis 1975 au Mémorial de France à Saint-Denis, ne pourrait-il être celui, jamais retrouvé, du frère aîné de Louis XVII mort en juin 1789 ? De surcroît, le jeune Louis XVII a été arraché de sa mère en juillet 1793 puis enfermé, seul, jusqu'à son décès : mais le prisonnier du Temple retrouvé mort le 8&nsbp;juin 1795 était-il toujours Louis XVII ? Retour sur sa captivité...

 
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La piste Louis XVII-Naundorff
(Extrait de l'article paru dans le numéro 3)

Louis XVII aurait-il quitté la prison du Temple avant le 8 juin 1795, et pris le nom de Naundorff ? L'analyse génétique du cœur du présumé dauphin mort à la prison du Temple, a établi la parenté avec Marie-Antoinette. Mais rien ne prouve qu'il appartienne à Louis XVII, après toutes les péripéties qu'il a connues. Volé lors de l'autopsie par le docteur Pelletan puis par un étudiant en médecine, il est passé entre les mains des Bourbons espagnols et du duc de Bauffremont, chef de file des légitimistes, avant de reposer à Saint-Denis, en 1975...

 
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La captivité de la famille royale
(Extrait de l'article paru dans le numéro 3)

Sœur de Louis XVII, madame Royale raconte : « Le roi, mon père arriva au Temple avec sa famille le lundi 13 août 1792. Le jardin étoit plein d'ouvriers qui injurioient souvent mon père ; il y en eut un qui se vanta d'abattre la tête de ma mère avec ses outils. Les injures redoublèrent le 27bre ; nous ignorions ce qui se passoit. Des fenêtres on jeta des pierres à mon père. Mathieu alors, se retournant vers mon père, lui dit tout ce que la rage peut suggérer ; entre autres il dit : « La générale a battu, le tocsin a sonné, le canon d'alarme a tiré, les ennemis sont à Verdun ; s'ils viennent, nous périrons tous, mais vous mourrez le premier. »...

 
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