Extraits du NUMÉRO 28
(Octobre / Novembre / Décembre 2008)
 
Le Charivari pour fustiger les secondes noces
(Extrait de l'article paru dans le numéro 28)

Bé du christianisme, le bruit nocturne que l'on faisait avec des chaudrons, poêles et autres instruments ou ustensiles de métal au son lugubre et baroque, pour donner des sérénades accompagnées de huées à des personnes convolant en secondes noces, était appelé charivari et fermement condamné par une justice cependant impuissante.

Lorsqu'une personne âgée, homme ou femme, en épousait une beaucoup plus jeune qu'elle, il était d'usage que les voisins se rassemblassent le soir sous les fenêtres des nouveaux mariés ; là, chacun, muni de poêles, poêlons, chaudrons, etc., les frappaient rudement avec d'autres instruments de fer ; ou bien, les agitant en l'air, on heurtait à grand bruit les unes contre les autres tous ces ustensiles résonnants. Des cris perçants, des huées tumultueuses...

 
[POUR LIRE LA SUITE, COMMANDEZ LE N°28]

Dangereux charivaris de la cour royale
(Extrait de l'article paru dans le numéro 28)

Sauval nous apprend dans ses Antiquités de Paris qu'au XIVe siècle, « quand les veuves de la cour se remarioient, on leur faisoit des Charivaris ; ce qui est si vrai, ajoute-t-il, qu'à un Charivari que Charles VI fit à Paris en 1389 [lire 1392], lorsque Catherine, en grande faveur auprès de la reine, se remaria en quatrièmes noces, ce prince faillit être brûlé avec quatre autres ». Le Laboureur fournit plus amples détails sur ce Charivari qui se déroula...

 
[POUR LIRE LA SUITE, COMMANDEZ LE N°28]

Charivari politique pour accueillir un député
(Extrait de l'article paru dans le numéro 28)

Au charivari des secondes noces succéda au XIXe siècle le charivari politique, dont un exemple retentissant fut l'aventure arrivée à Adolphe Thiers lorsqu'il se rendit à Aix le 24 avril 1832, et narrée par un journaliste du temps qui n'était pas impartial : « On avait appris seulement le matin son départ de Paris ; mais il ne fallait pas de grands préparatifs pour le fêter...

 
[POUR LIRE LA SUITE, COMMANDEZ LE N°28]

 
 
Vous pouvez :
 
◆ Vous procurer ce NUMÉRO AU FORMAT NUMÉRIQUE
 
◆ Vous procurer la COLLECTION DES NUMÉROS
ENCORE DISPONIBLES AU FORMAT PAPIER
 
◆ Consulter la présentation et commander
L'OUVRAGE « IL ÉTAIT UNE FRANCE » rassemblant
l'intégralité des articles parus au sein du magazine,
augmentés d'une trentaine de chroniques (ouvrage
disponible au format PAPIER et au format NUMÉRIQUE)