Extraits du NUMÉRO 7
(Juillet / Août / Septembre 2003)
 
Forçats condamnés au bagne
(Extrait de l'article paru dans le numéro 7)

La condamnation des criminels aux travaux forcés remonte au XIVe siècle, lorsque le roi Charles IV y vit un moyen de pallier le manque de bras pour faire avancer ses galères.

Véritable panacée pour un État n'hésitant pas à inciter les juges à prononcer de longues peines, elle fut ensuite substituée par le bagne, lorsque cessèrent de voguer les galères et qu'il fallut « occuper » autrement les forçats...

 
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Pierre Cognard, faux comte au bagne de Brest
(Extrait de l'article paru dans le numéro 7)

Pierre Cognard, connu sous le nom du comte de Pontis de Sainte-Hélène, « semblait être né pour le commandement : sa stature était haute et dans des proportions correctes ; les traits de sa figure, délicats, effilés, contrastaient avec la régularité admirable de sa belle tête...

 
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La vie au bagne de Brest
(Extrait de l'article paru dans le numéro 7)

DL'ouverture du bagne de Brest en 1749 est décrétée par l'ordonnance de Louis XIV le 27 septembre 1748. Le bagnard de Brest est le plus souvent un natif du Nord de la Loire d'origine modeste condamné pour vol, détournement de jeune fille, assassinat, contrebande...

 
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